Fil.le d’orLa tempête s’en mêleLe rivage flottera incertain& L’algue n’a qu’un desseinDériver vers la plage, rejetéeS’endormir, luisante de crachin.Elle aussi s’emmêleSous son visage marinLa Fille d’or du destinn’est plus qu’une exilée, oubliéeNoyée, une ombre du chagrin.mirliton D’entre les grains de sableAu détour d’un trottoir de merLes vagues d’un matin pourtant& d’un jour à se faire.Lui reste le souffle du ventLe creux chaud derrière le rocher& sous sa peau le sel qui fondPour mieux se confondre. Caroline D. Partager :PartagerFacebookLinkedInJ’aime chargement…
D’entre les grains de sable Au détour d’un trottoir de mer Les vagues d’un matin pourtant & d’un jour à se faire. Lui reste le souffle du vent Le creux chaud derrière le rocher & sous sa peau le sel qui fond Pour mieux se confondre. Réponse
D’entre les grains de sable
Au détour d’un trottoir de mer
Les vagues d’un matin pourtant
& d’un jour à se faire.
Lui reste le souffle du vent
Le creux chaud derrière le rocher
& sous sa peau le sel qui fond
Pour mieux se confondre.